top of page
Les étudiants adultes

LA GRAPHOLOGIE FACE AUX TESTS

La graphologie face aux test: Service

La Graphologie et les tests sont 2 choses différentes, éventuellement complémentaires, mais certainement pas interchangeables et nous trouvons dommage que ceux qui développent les tests le fassent au détriment (abusif ?) de la graphologie.


Nous pensons que les deux méthodes ont leurs champs d’applications et devraient pouvoir coexister.


Or aujourd’hui, les grands éditeurs, principalement américains, détenant et contrôlant le marché des Tests d’évaluation de personnalité, des Tests psychotechniques.... montent l’opinion contre la graphologie au profit de ces tests, confortant ainsi leur suprématie.


Ils contactent les psychologues en formation pour propager un dictat : la graphologie n’est pas une pratique fiable, elle est sans fondement scientifique démontrable. Ils les découragent ainsi de l’utiliser comme outil de recrutement ou d’investigation de la personnalité.


Par ailleurs, on ne peut se servir de ces tests sans avoir suivi une formation coûteuse préalable organisée par l’éditeur du test qui « conditionne » les jeunes intervenants R.H. à l’idée toute faite que la graphologie n’est pas un outil d’évaluation validé.


Une étude récente destinée à faire avancer la recherche internationale en Psychométrie et à mesurer la valeur prédictive des principaux tests de personnalité a démontré que les meilleurs questionnaires avaient seulement une validité de 0,3(0,0 pile ou face). C’est à dire que la confiance des utilisateurs est souvent bien mal fondée.


La Graphologie part d’un angle totalement différent, utilisant l’écriture comme test projectif. Le scripteur se projette consciemment et inconsciemment dans son geste graphique. En effet, «il est notoirement connu que l’écriture est une praxie commandée par le cerveau, expressive comme tous nos gestes, que la main n’est que l’instrument d’élection de cette praxie », la Graphologie est donc un test projectif qui assoit sa légitimité.


Un autre axe de développement intéressant est la « Neuro‐Graphologie ». Il s’agit d’une mise en correspondance de la Graphologie et des neurosciences. La méthode des préférences cérébrales est le fruit d’une recherche fondamentale effectuée en comparant les résultats obtenus par la Graphologie et ceux d’un questionnaire validé scientifiquement par l’américain Ned Hermann. Celui‐ci permet de détecter les préférences cérébrales (hémisphères droit et gauche) qui sont à la base des différentes personnalités et directement liées à la gestion mentale. Ce travail intègre les 3 étages du cerveau, les spécialisations hémisphériques et la typologie comportementale des 4 quadrants de Ned Hermann qui en résulte. 


Les différences entre les tests et la graphologie sont primordiales à souligner. 


Si ces tests dégagent les tendances, les généralités, d’un profil, ils ne prennent pas en considération les spécificités du candidat par rapport à un poste particulier, à un contexte donné et précis par exemple.

16 profils‐types pour le MBTI : Fatalement on finit par tomber sur bon nombre de personnes ayant le même profil.


En graphologie, à chaque individu, une écriture unique qui donne lieu à une interprétation unique. Chaque portrait élaboré en graphologie ne peut être comparé à aucun autre, puisque chaque individu possède ses propres spécificités. La graphologie offre une vision plus complète, fine de l’être humain, en dehors de toute catégorisation, classification.

La graphologie face aux test: À propos
bottom of page